"Je m'appelle Nina.
Je suis une sorcière. Mon pouvoir ne se voit pas. Il m'accompagne depuis toujours. J'en ai hérité. Mes mains en sont les instruments." Bénédicte Gourdon tisse une ambiance énigmatique pour Nina, son héroïne, confrontée à une décision qui donnera forme à sa vie. Stéphanie Hans met superbement en ombre et lumière ce polar fantastique situé à Bordeaux. "Je m'appelle Nina.
Je suis une sorcière. Mon pouvoir ne se voit pas. Il m'accompagne depuis toujours. J'en ai hérité. Mes mains en sont les instruments." Bénédicte Gourdon tisse une ambiance énigmatique pour Nina, son héroïne, confrontée à une décision qui donnera forme à sa vie. Stéphanie Hans met superbement en ombre et lumière ce polar fantastique situé à Bordeaux.
Y a t-il une suite ? un très beau graphisme (Géraldine)
vendredi 16 mars 2012
Nos pères sont partis/ Dalila Belil, Encre d'Orient, 2011.
Elles sont nées l'une et l'autre dans le même village de Kabylie.
Tandis que Dahbia grandit au village et s'y marie, Soltana s'envole pour la France avec sa famille, pour y rejoindre son père immigré. Un jour, Soltana reçoit une lettre de Dahbia. C'est un appel au secours. Son époux projette d'émigrer à son tour et d'installer sa famille en France. Commence une correspondance entre les deux amies. Et c'est, pour elles, l'occasion de revenir sur le temps perdu, sur le temps volé, sur les silences qui les ont tenues éloignées si longtemps l'une de l'autre.
Alors que Dahbia célèbre ses montagnes et son pays bien aimé, Soltana l'invite à prendre avec enthousiasme le chemin de l'exil. Et puis, peu à peu, leurs belles certitudes se craquellent. Surgit, lettre après lettre, une vérité qu'elles se cachaient et qui est celle d'une Histoire trop grande pour elles. Poignant, incisif, ce roman par lettres ne révèle pas seulement les envers et les revers de l'immigration, mais aussi, et surtout, un écrivain.
Un bon premier roman (Géraldine) pour les plus grands.
Tandis que Dahbia grandit au village et s'y marie, Soltana s'envole pour la France avec sa famille, pour y rejoindre son père immigré. Un jour, Soltana reçoit une lettre de Dahbia. C'est un appel au secours. Son époux projette d'émigrer à son tour et d'installer sa famille en France. Commence une correspondance entre les deux amies. Et c'est, pour elles, l'occasion de revenir sur le temps perdu, sur le temps volé, sur les silences qui les ont tenues éloignées si longtemps l'une de l'autre.
Alors que Dahbia célèbre ses montagnes et son pays bien aimé, Soltana l'invite à prendre avec enthousiasme le chemin de l'exil. Et puis, peu à peu, leurs belles certitudes se craquellent. Surgit, lettre après lettre, une vérité qu'elles se cachaient et qui est celle d'une Histoire trop grande pour elles. Poignant, incisif, ce roman par lettres ne révèle pas seulement les envers et les revers de l'immigration, mais aussi, et surtout, un écrivain.
Un bon premier roman (Géraldine) pour les plus grands.
Il se peut qu'on s'évade/ Cathy Ytak, Actes sud junior, 2011.
Peter Skoresen était un enfant doué, il apprenait tout, se souvenait de tout.
Il est devenu un adulte hors norme, ne sait pas dire bonjour ou merci, on dirait peut-être autiste. Gardien dans un musée, il aime travailler la nuit. Ainsi il s'immerge dans les oeuvres, qu'il connaît intimement. Son emploi du temps change et il doit travailler le jour. Le musée est en travaux, les tableaux décrochés en partie ; les gens, le bruit, le mouvement, tout l'affole, le terrorise. (sur le syndrome de Stendhal)
Relu par Jenny, va-t-il plaire aux ados ?
Il est devenu un adulte hors norme, ne sait pas dire bonjour ou merci, on dirait peut-être autiste. Gardien dans un musée, il aime travailler la nuit. Ainsi il s'immerge dans les oeuvres, qu'il connaît intimement. Son emploi du temps change et il doit travailler le jour. Le musée est en travaux, les tableaux décrochés en partie ; les gens, le bruit, le mouvement, tout l'affole, le terrorise. (sur le syndrome de Stendhal)
Relu par Jenny, va-t-il plaire aux ados ?
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